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Réussir le pivot asiatique implique pour la Russie d’améliorer considérablement le niveau socio-économique et démographique de son Extrême-Orient, véritable plateforme d’accès terrestre et maritime au bassin indo-pacifique. Dans cette zone, elle doit continuer d’intensifier ses échanges avec ses deux partenaires majeurs qui sont la Chine et l’Inde, maintenir le statu quo actuel avec le Japon et la Corée du Sud, dans l’attente de jours meilleurs après la fin de la guerre en Ukraine et optimiser ses relations avec tous les pays de l’ASEAN, cinquième bloc économique mondial.