Général français. Colonel, il était directeur adjoint du Centre de prospective et d'évaluation au ministère de la Défense.
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Au moment où la défense du Vieux Continent est devenue un souci réel, et où, malheureusement, tous les Européens ont des difficultés à parler d'une même voix, l'arme à rayonnement renforcé revient à l'ordre du jour. L'auteur fait le point sur cette question. Lire les premières lignes
L’arme à neutrons a fait couler beaucoup d’encre et a été l’objet de nombreuses et violentes diatribes, depuis qu’en 1977 les Américains ont annoncé leur projet de se doter d’une charge de ce type en vue d’une utilisation opérationnelle comme arme tactique, la charge étant adaptée au missile sol-sol Lance ou à l’obus de 203. La violente campagne d’intoxication déclenchée par l’URSS avait alors amené le Président Carter à renoncer à ce projet. Lire la suite
L'auteur a récemment (numéro de janvier 1980 de la revue) publié un article sur la dissuasion française et la stratégie anti-cités où il a cherché à faire justice des remises en cause de la doctrine française de dissuasion. Son but est ici de faire le point de la situation, d'exposer les véritables problèmes que pose l'avenir de nos forces nucléaires et les solutions possibles. Contrairement à ce qui a été avancé par les amateurs de sensationnel, la France ne se trouve pas à la croisée des chemins. La dissuasion nucléaire par une stratégie anti-cités garde toute sa valeur. Lire les premières lignes
Cet article est, certes, la réponse du berger à la bergère annoncée dans la présentation de l’article du colonel Geneste, « De l’anti-cités à l’anti-forces » de notre numéro de décembre. Mais le but recherché ici n'est pas une polémique entre experts, aussi distingués soient-ils. L’importance de cet exposé dépasse largement ce propos. On constate en effet ici ou là, dans la presse ou lors de débats publics, que la crédibilité et l'efficacité de la stratégie anti-cités, fondement de la doctrine française de dissuasion, est mise en cause, alors qu'un large consensus national s'est instauré autour de notre politique de défense. Il s'agit donc essentiellement de répondre à ces critiques, après avoir très brièvement retracé les grandes lignes du concept de défense « du faible au fort ». Il faudrait aussi insister sur le risque que présente pour l'avenir de l'humanité l'idée que l'arme atomique est une arme comme les autres. Nous reviendrons sur ce risque ultérieurement. Lire les premières lignes
L'article de Marc Geneste paru dans notre numéro de janvier dernier nous a valu de nombreuses réactions écrites ou téléphonées. Parmi les lettres que nous avons reçues, il nous a paru intéressant d'en publier une typique, celle du colonel Lewin, appartenant au Centre de prospective et d'évaluations, un organe de réflexion et de prévision directement rattaché au ministre de la Défense. Lire les premières lignes
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Le colloque
Quelle autonomie pour les robots armés de demain ?
organisé par le Centre interarmées de concepts, de doctrines et d'expérimentations (CICDE) et l’Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan avec son centre de recherche le CReC
se tiendra le
lundi 13 octobre 2025 de 9 H 00 à 16 h 00
à l’amphithéâtre Lacoste de l’École militaire
17 place Joffre, 75007 Paris
Le programme de ce colloque est accessible sous le lien Internet : https://www.terre.defense.gouv.fr/crec/evenements/quelle-autonomie-robots-armes-demain
Ce colloque est réservé aux personnes de nationalité française travaillant sur les questions de Défense.
Pour participer à l’ensemble du colloque, inscription gratuite mais obligatoire sous le lien Internet https://www.paris-ecole-militaire.fr/fr/forms/colloquecicdecrecsaintcyrsurlessystemesrobotiquesarmees
La Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) vous invite le lundi 22 septembre 2025, de 14 h à 18 h, au colloque « La CNCTR : 10 ans de contrôle ».
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